Samedi 24 mai 2025
8h30 – 17h15
Mix Bruxelles
La conférence CARE by BMC, organisée le 24 mai 2025 au MIX Bruxelles, inaugure un nouveau rendez-vous d’exception à l’intersection du sport, de la santé et des technologies de pointe. Portée par le Borlée Medical Center, cette première édition entend transformer les pratiques, créer des ponts concrets entre les disciplines et accélérer les synergies entre acteurs médicaux, scientifiques, technologiques et sportifs.
Le programme réunit des intervenants de renommée internationale, des démonstrations technologiques innovantes, et des temps d’échange privilégiés entre chercheurs, cliniciens, entreprises, start-ups, athlètes et passionnés, entraîneurs, et professionnels du mouvement.
L’objectif est clair : faire émerger une nouvelle culture de la performance, en conjuguant rigueur scientifique, innovation technologique et attention portée à l’humain.
À travers cette approche transversale d’excellence, CARE by BMC explore les apports concrets des neurosciences, de l’intelligence artificielle, de l’oxygénothérapie hyperbare, de l’analyse multifonctionnelle, de la tecarthérapie ou encore de l’imagerie médicale de dernière génération, pour redéfinir durablement la performance et la santé – du sportif d’élite au citoyen en quête de santé durable.
Au programme
10 orateurs de renommée internationale
Des études de cas appliquées, issues de l’élite sportive et de terrain
4 moments de networking, pensés pour faciliter les connexions à forte valeur ajoutée
Des technologies de pointe à découvrir
Un public ciblé et engagé, B2B et B2C, en quête de solutions concrètes et inspirantes
Un évènement exigeant et accessible, où la rigueur scientifique, l’expérimentation de terrain et la puissance humaine s’articulent pour réinventer la performance du corps et de l’esprit, dans un lieu élégant et inspirant, le MIX Bruxelles.
La conférence se déroulera le samedi 24 mai 2025 au Mix Bruxelles, un lieu hybride et inspirant au cœur du sud de la capitale.
Le Mix Bruxelles réunit en un seul espace un hôtel élégant, un restaurant chaleureux, une bibliothèque moderne, une salle de sport, un bar animé et des espaces dédiés aux évènements professionnels. Un véritable écosystème où se croisent innovation, bien-être et convivialité.
Installé dans l’iconique bâtiment de la Royale Belge, ce centre d’exception s’ouvre sur les étangs environnants et s’inscrit dans le cadre naturel remarquable de la Forêt de Soignes.
La conférence se déroulera le samedi 24 mai 2025 au Mix Bruxelles, un lieu hybride et inspirant au cœur du sud de la capitale.
Le Mix Bruxelles réunit en un seul espace un hôtel élégant, un restaurant chaleureux, une bibliothèque moderne, une salle de sport, un bar animé et des espaces dédiés aux événements professionnels. Un véritable écosystème où se croisent innovation, bien-être et convivialité.
Installé dans l’iconique bâtiment de la Royale Belge, ce centre d’exception s’ouvre sur les étangs environnants et s’inscrit dans le cadre naturel remarquable de la Forêt de Soignes.
L’oxygène, traditionnellement vu comme un médicament, doit être considéré comme un puissant stimulus cellulaire. Même une légère variation de la pression partielle en oxygène peut déclencher des réactions moléculaires importantes, notamment via l’activation de facteurs induits par l’hypoxie (HIF) et de protéines de choc thermique (HSP).
Ces réactions influencent la régulation épigénétique, affectant l’expression des gènes sans modifier l’ADN. Le concept de paradoxe de l’oxygène normobare montre que revenir à la normoxie après une hyperoxie est perçu comme un stress hypoxique. L’exposition intermittente à l’oxygène active des cascades adaptatives bénéfiques. La réponse biologique varie selon la durée, la fréquence et la pression de l’exposition. Ainsi, l’oxygène normobare devient un outil dynamique et précis.
Prof. Costantino Balestra, ULB
Présentation des lésions musculaires dans le sport, de leur physiopathologie et de leur classification, suivie des grandes étapes de l’examen clinique et de la prise en charge en rééducation.
Mise en perspective de la place de la tecarthérapie dans les stratégies thérapeutiques actuelles, illustrée par un cas clinique concret.
Pascal Gohier – Kinésithérapeute
Les blessures du sportif de haut niveau peuvent être multi tissulaires. Les phénomènes communs de ces lésions sont une déstructuration des tissus, une hypoxie, des perturbations métaboliques, un œdème et parfois de la nécrose. L’objectif de différentes thérapeutiques sera une réparation complète et fonctionnelle des tissus avec idéalement une restitution de l’architecture tissulaire ad integrum. La néoangiogenèse est une étape essentielle.
L’oxygénothérapie hyperbare (OHB) est une thérapie adjuvante qui corrige l’hypoxie locale, favorise la perfusion cellulaire, réduit l’œdème et active les mécanismes cellulaires de réparation en activant les différents acteurs de la cicatrisation. Dans des tissus peu vascularisés, des injections de nouvelles générations de concentrés plaquettaires avant OHB pourraient contribuer à encore raccourcir le délai de cicatrisation. Bien évidement, ces thérapies sont menées en parallèle d’une rééducation adaptée suivie de la phase de réathlétisation progressive. Cette approche intégrée constitue donc une piste prometteuse pour optimiser les délais de guérison, bien que des études cliniques restent nécessaires pour en valider pleinement l’efficacité.
Dr Carl Willem – Médecin du sport.
L’intégration et l’évolution de la technologie dans le sport ont transformé le paysage des praticiens en médecine du sport travaillant dans l’environnement de la performance en football.
Aujourd’hui, au sein d’un club ou d’une équipe, les technologies, les bases de données de valeurs normatives et les études multicentriques à grande échelle offrent un vaste ensemble de données aux cliniciens et à l’équipe pluridisciplinaire (MDT), avec le risque de tomber dans un modèle « piloté par les données » pour la prévention des blessures, la rééducation, le retour au jeu et la performance.
Malgré ces avancées, il reste essentiel pour les cliniciens de cultiver et d’exercer leur expertise dans l’interprétation de l’examen clinique et du raisonnement médical, tout en prenant en compte les facteurs contextuels complexes et multifactoriels, afin d’identifier les réponses, les besoins et les risques individuels des joueurs que la technologie ne peut pas totalement appréhender.
Cette présentation explorera le rôle évolutif de la technologie en médecine du sport et soulignera l’importance du raisonnement clinique et de la prise de décision pour maintenir une approche contextualisée et centrée sur le joueur.
Dr Olivier Materne – Responsable de la physiothérapie, Standard de Liège
Née dans les années 1970, la tomographie assistée par ordinateur — aujourd’hui appelée tomodensitométrie — a révolutionné la pratique radiologique. Cette technique a non seulement supplanté d’anciens modes d’investigation mais surtout ouvert de nouveaux horizons tout au long de son développement technologique.
Approuvés depuis 2021 par la Food and Drug Administration, les détecteurs par comptage photonique promettent une révolution en termes de précision, de réduction de dose et de champs d’action.
Cette intervention a pour objectif de présenter les espoirs et les attentes que le monde de l’imagerie médicale place dans cette révolution, annoncée comme la plus grande révolution technologique en tomodensitométrie depuis plus de dix ans.
Dr Philippe Thoma – Radiologue, CHU de Tivoli
Laboratoire de Neurophysiologie et de Biomécanique du Mouvement (LNMB), Université Libre de Bruxelles.
Le flow est un état mental singulier qui émerge d’un objectif clair nécessitant une action, ainsi que d’une parfaite adéquation entre des compétences spécifiques et des défis accompagnant des performances exceptionnelles. Celui-ci se manifeste chez des personnes engagées dans des pratiques motrices de haut niveau, telles que les athlètes et les musiciens de haut niveau.
Dans ce contexte, nous avons exploré des perspectives expérimentales en appliquant des outils des neurosciences pour caractériser les aspects physiologiques de l’état cérébral pendant le flow dans le domaine du sport (Cheron, 2016) et démontré que l’état de flow peut être physiologiquement identifié grâce à l’EEG non invasif (Leroy et Cheron, 2020). C’est précisément cette sensation que notre approche basée sur l’intelligence artificielle (IA) cherchera à identifier chez chaque individu afin d’amener à une amélioration de la santé.
Prof. Guy Chéron, ULB
IFREQ est une technologie basée sur des tests standardisés permettant aux joueurs de mieux comprendre leurs forces et leurs faiblesses, tout en offrant aux clubs un accès à une base de données structurée des 300 millions de joueurs amateurs aujourd’hui invisibles pour eux.
Philippe-Alexandre de Liedekerke – CEO & Founder, IFREQ
La médecine de la longévité vise à prolonger la durée de vie des patients en bonne santé en
retardant les processus biologiques du vieillissement afin de limiter le développement de
pathologies chroniques. L’intégration de l’IA et l’avènement du séquencage transforment
radicalement notre approche de la médecine de la longévité, en exploitant des volumes
massifs de données biologiques pour prédire, prévenir les maladies liées à l’âge. Le rôle du
médecin évoluant progressivement vers de la gestion de risque et de la planification.
Les progrès en biotechnologie permettent en effet la collecte de données biologiques à une
échelle sans précédent. Les technologies de séquençage à haut débit, les dispositifs de
surveillance portables et les bases de données médicales électroniques génèrent des
informations détaillées sur la génomique, la protéomique, la métabolomique etc. Ces données
offrent une vue d’ensemble du fonctionnement biologique individuel, essentielle pour
comprendre le vieillissement et ses implications sur la santé.
L’IA permet d’analyser ces vastes ensembles de données pour prédire l’évolution des patients.
Des algorithmes sont capables d’identifier des dérèglements biologiques bien avant
l’apparition des premiers symptômes de maladies. L’identification de ces zones de transition
permet la mise en place d’intervention stratégiques tant que la situation est encore contrôlable.
La création de répliques virtuelles dynamiques d’un individu intégrant des données
biologiques, physiologiques et comportementales en temps réel offre une modélisation précise
de l’état de santé d’une personne. Ces digital twins permettrent non seulement de prédire
l’évolution de la santé d’un patient mais également de de simuler la réponse à des
interventions préventives et personnalisées.
L’intégration de l’IA et des données biologiques en médecine de la longévité est appelée à se
renforcer. Les avancées dans la collecte de données, les méthodes d’analyse et la
compréhension des mécanismes du vieillissement permettront de développer des interventions
plus efficaces et personnalisées. La collaboration interdisciplinaire entre biologistes,
informaticiens, cliniciens et éthiciens sera essentielle pour maximiser les bénéfices de ces
technologies tout en minimisant les risques.
Dr Laure Ysebrant – Médecin interniste, Groupe Hospitalier CHIREC
Le coaching ne se limite pas à une méthode ou à un programme. C’est un état d’esprit, une philosophie qui guide vers l’excellence en mobilisant les sensations qui font la différence.
Être coach, c’est donner avec générosité, insuffler une énergie positive, créer une relation humaine authentique qui stimule l’engagement.
C’est aussi aider à maîtriser les émotions, transformer le stress ou la frustration en leviers de progression.
Un bon coach sait faire émerger le meilleur, même dans l’adversité.
La technologie peut enrichir l’analyse, mais elle ne remplace jamais l’intuition ni la présence humaine.
Le coaching, c’est ajuster, comprendre, encourager. C’est un travail d’orfèvre où chaque détail compte.
En sculptant la confiance, on construit une performance durable.
Jacques Borlée – Entraîneur et coach, Boost by Borlée
Comprendre le mouvement humain est essentiel pour réduire le risque de blessure, optimiser les parcours de soins et améliorer les performances sportives. Les analyses biomécaniques détaillées offrent des données précieuses à cet égard. Cependant, les méthodes traditionnelles d’analyse biomécanique reposent sur un équipement de laboratoire coûteux, des experts spécialisés et de longues heures d’analyse, ce qui limite leur usage en pratique courante. L’émergence des techniques de vision par ordinateur constitue une alternative prometteuse, permettant d’analyser le mouvement à partir d’une simple vidéo prise avec un smartphone. Dans cette présentation, j’introduirai une technologie développée à l’Université de Stanford, qui rend l’analyse biomécanique plus accessible et exploitable, et qui peut devenir un véritable outil au service des professionnels du mouvement.
200 places disponibles
👉 195 € HTVA
* Cet évènement est accrédité pour les kinésithérapeutes à hauteur de 12 unités de formation continue.
Organisé par
Prix Early bird
Samedi 24 mai 2025
8h30 – 17h00
Mix Bruxelles
Mix, Bd du Souverain, 25/1 à 1170 Watermael-Boitsfort
Parking Indigo Bruxelles Royal Belge – Bd du Souverain, 25 à 1170 Watermael-Boitsfort
Tarifs :
Parking BePark – Parking Boulevard Souverrain – Bd du Souverain 24, 1170 Watermael-Boitsfort
Train (30 minutes) : Bruxelles Midi – Boitsfort/Bosvoorde
Tram (6 minutes) : Boitsfort Gare – Tenreuken
Le Mix se trouve en face de l’arrêt de tram Tenreuken.
36 minutes 🚆
Train (40 minutes) : Bruxelles Zaventem – Boitsfort/Bosvoorde
Tram (6 minutes) : Boitsfort Gare – Tenreuken
Le Mix se trouve en face de l’arrêt de tram Tenreuken.
50 minutes 🚆
Bus (25 minutes) : Aéroport de Charleroi – Gare de Charleroi-Central
Train (1h20) : Charleroi-Central – Boitsfort/Bosvoorde
Tram (6 minutes) : Boitsfort Gare – Tenreuken
Le Mix se trouve en face de l’arrêt de tram Tenreuken.
1 h 50 🚆
Des taxis sont disponibles depuis les différents aéroports (le prix de la course varie selon la distance et le trafic). Le prix de la course peut varier de 50 à 150 euros.
Le succès de la conférence CARE by BMC repose aussi sur l’engagement de nos partenaires. Ensemble, nous faisons émerger un écosystème innovant, inspirant et porteur de sens. Rejoignez-nous dans cette dynamique unique !
Samedi 24 mai 2025
8h30 – 17h15
Mix Bruxelles
Le Dr Costantino Balestra a commencé par étudier la neurophysiologie de la fatigue, puis s’est orienté vers des recherches en physiologie environnementale. Il enseigne la physiologie, la biostatistique, la méthodologie de la recherche, ainsi que d’autres matières.
Il est Directeur du Laboratoire de Physiologie Intégrative et professeur à temps plein à la Haute École Bruxelles-Brabant (Bruxelles) et dans le corps académique de l’université Libre de Bruxelles.
Il est vice-président de DAN Europe pour la recherche et l’éducation, et ancien président de la Société Européenne de Médecine Sous-marine et Baromédicale (EUBS) et l’Underwater and Hyperbaric Medical Society (HUMS) (spécialisées dans les milieux extrêmes comme l’espace ou l’hyperbarie).
Jacques Borlée, né en 1957 à Kisangani, est une figure majeure de l’athlétisme belge. Ancien sprinter, il a été sept fois champion de Belgique et médaillé d’argent aux championnats d’Europe indoor en 1983, après avoir participé aux Jeux Olympiques de Moscou en 1980.
Devenu entraîneur, il a conduit ses enfants – Olivia, Kévin, Jonathan et Dylan – à un palmarès exceptionnel de 57 médailles internationales, dont l’or olympique d’Olivia en 2008. Il est aussi le coach emblématique des Belgian Tornados, qu’il a menés à 20 médailles internationales.
Sacré entraîneur belge et européen de l’année en 2011, il est reconnu pour son approche visionnaire de la performance durable. Il intervient aujourd’hui en entreprise à travers conférences et formations, notamment via son programme “Boost by Borlée”, alliant bien-être, résilience et performance.
Guy Chéron, est un neurophysiologiste reconnu pour ses contributions significatives dans le domaine des neurosciences. Il a obtenu une maîtrise en sciences de la motricité (1978), un doctorat en neurophysiologie (1980) et une Agrégation de l’enseignement supérieur en neuroscience à l’Université libre de Bruxelles (ULB). Il a occupé des postes de professeur à l’Université de Mons et de professeur ordinaire à l’ULB où il a dirigé le Laboratoire de neurophysiologie et de biomécanique du mouvement (LNMB) de 1993 à 2020.
En 2012, il a cofondé Human Waves, une spin-off de l’ULB spécialisée dans les neuro-technologies appliquées à la rééducation et à l’amélioration des performances sportives. Ses recherches ont notamment conduit à la découverte, en collaboration avec E. Godaux en 1986, de l’intégrateur neural oculomoteur dans le noyau prepositus du chat, une avancée majeure dans la compréhension du maintien du regard. Il a également exploré les oscillations neuronales pathologiques de hautes fréquences liées à l’ataxie cérébelleuse et participé à des expériences en neurosciences spatiales à bord de la Station spatiale internationale, étudiant les effets de la microgravité sur la perception la cognition et l’action.
Il est l’auteur ou co-auteur de plus de 250 articles scientifiques et de deux livres, il a reçu le Prix de Biomécanique à Paris en 1987 et le Prix Science & Innovation du Comité Olympique Interfédéral Belge en 2015.
Philippe-Alexandre de Liedekerke est un ancien joueur de football devenu entrepreneur, animé par une passion profonde pour le sport, et plus particulièrement pour le football.
Tout au long de son parcours, il a lancé et accompagné plusieurs projets dans des secteurs variés, développant ainsi une double expertise à la fois business et sportive.
En tant que joueur amateur, il a été directement confronté aux limites du système actuel : sur les 300 millions de joueurs dans le monde, seuls 800 000 sont réellement visibles. Ce déséquilibre rend l’accès au monde professionnel extrêmement difficile pour la majorité.
C’est pour répondre à cet enjeu qu’il a fondé IFREQ, une technologie visant à standardiser l’évaluation des joueurs, afin d’offrir à chacun une chance équitable d’être repéré, accompagné et valorisé.
Antoine Falisse est diplômé en ingénierie biomédicale de l’UCLouvain (2014) et titulaire d’un doctorat en sciences biomédicales de la KU Leuven (2019), durant lequel il a développé des modèles informatiques pour analyser le mouvement humain et prédire les effets des traitements orthopédiques sur la marche d’enfants atteints de troubles locomoteurs. Ses travaux de doctorat ont été largement salués et récompensés par plusieurs prix internationaux. Il a poursuivi ses recherches à l’Université de Stanford en tant que chercheur postdoctoral, où il a co-développé OpenCap, une plateforme logicielle permettant d’analyser la biomécanique du mouvement humain à partir de vidéos capturées par smartphone. Aujourd’hui, OpenCap est utilisé par des milliers de chercheurs à travers le monde. Fort de cette expérience, Antoine a fondé Model Health, une entreprise dont la mission est de rendre l’analyse du mouvement plus accessible et plus utile aux kinésithérapeutes, préparateurs physiques et autres professionnels de la santé. Depuis octobre 2024, il est de retour en Belgique et se consacre à temps plein au développement de Model Health.
Pascal Gohier est kinésithérapeute depuis 1990, installé en cabinet privé dans les Landes depuis 1997.
Spécialisé en kinésithérapie du sport, il a accompagné de nombreux athlètes et fédérations, notamment en cyclisme dès 1992 pour la préparation des Jeux Olympiques, en sport automobile, et surtout au sein de la Fédération Française de Basket-ball. Il a suivi les équipes de France U16, masculine (JO de Londres et Rio, Championnats d’Europe, Coupe du Monde) et féminine (JO de Tokyo et Paris, Coupes du Monde, Championnats d’Europe), ainsi que l’équipe professionnelle de Basket Landes pendant 15 ans. Il intervient également en rugby avec le Stade Montois (Pro D2) et auprès de joueuses de tennis.
Formateur pendant 12 ans chez Kinesport, il y a enseigné les pathologies du membre inférieur et les techniques de contention.
Le Dr Olivier Materne est un physiothérapeute du sport et chercheur clinique belge, fort de 25 ans d’expérience dans le football international.
Actuellement responsable de la physiothérapie au Standard de Liège, il a travaillé dans plusieurs clubs de première division en Belgique avant de rejoindre le Qatar. Il y a fondé le département de physiothérapie de l’ASPIRE Academy et s’est spécialisé en médecine du sport pédiatrique, accompagnant les équipes nationales jeunes du Qatar jusqu’à la préparation de la Coupe du Monde 2022.
Diplômé en physiothérapie du sport, en éducation physique, titulaire de deux masters (sciences du sport et médecine du football), il a obtenu un doctorat en médecine du sport pédiatrique à Edge Hill (UK), avec une thèse sur les blessures liées à la croissance chez les jeunes footballeurs.
En 2020, il rejoint le Glasgow Rangers FC comme responsable médical pour l’académie et l’équipe féminine. Il y met en place une stratégie efficace de réduction des blessures.
Spécialiste du raisonnement clinique et de la rééducation des blessures de croissance, en particulier au niveau de la hanche et du bassin, Olivier Materne est également éditeur associé de la revue scientifique internationale Research in Sports Medicine. Il intervient régulièrement lors de conférences internationales et publie dans les plus grandes revues de médecine du sport.
Né au Grand-Duché de Luxembourg en 1976, le docteur Philippe Thoma a suivi des études de médecine à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) de 1995 à 2002. Il a ensuite poursuivi son cursus dans cette même institution par un master en radiodiagnostic, avec une surspécialisation en imagerie cardiovasculaire.
Il exerce actuellement au CHU du Tivoli à La Louvière ainsi qu’au HUB – Hôpital Erasme à Bruxelles. Il assume également la fonction de maître de stage en radiodiagnostic au sein du service d’imagerie médicale du CHU Tivoli, affilié à l’ULB.
Depuis 2019, il occupe en outre le poste de secrétaire du Master complémentaire en radiodiagnostic à la Faculté de Médecine de l’ULB, ce qui lui confère le titre de Maître de Conférence au sein de cette même institution.
Carl Willem est médecin du sport, spécialisé en médecine hyperbare et subaquatique. Médecin belge au parcours international, il s’installe en 2014 dans le sud de la France après un long séjour professionnel au Moyen-Orient.
Il est gestionnaire d’ un espace médical dédié aux sportifs, de haut niveau ou amateurs, avec une approche pluridisciplinaire centrée sur la traumatologie, la physiologie, la rééducation, la réathlétisation et la médecine régénérative.
Comme président de l’association sport santé SOPHYGIA, il collabore avec de nombreuses structures sportives d’élites, œuvre à la sécurisation de manifestations sportives et au développement du sport santé.
Sur le circuit ATP, il accompagne plusieurs champions de tennis en tant que médecin personnel.
En milieu hospitalier, il s’implique activement dans l’oxygénothérapie hyperbare, l’urgence, l’enseignement (DIU), la prévention des accidents de plongée.
Il est également formateur au CREPS d’Antibes et membre de commissions fédérales de médecine de plongée.
Son engagement est nourri par un solide parcours de terrain : médecins de nombreux clubs, ancien médecin militaire belge chez les paracommandos, médecin-pompier et officier antidopage au sein du gouvernement belge.
Laure Ysebrant est médecin interniste, diplômée de l’Université Libre de Bruxelles, et docteure en sciences. Elle a fondé un cabinet privé intégratif dédié à la longévité, avec une approche personnalisée, holistique et de précision pour répondre à la montée des maladies chroniques.
Laure Ysebrant a renforcé son expertise en thérapie cellulaire et génique au Memorial Sloan Kettering Cancer Center à New York, où ses recherches ont porté sur les cellules CAR-T. Ses travaux ont été récompensés par plusieurs fondations, dont MEDIC, Nuovo Soldati et BAEF.
Elle a également développé des essais cliniques (phases I à III) en médecine interne et immunologie dans des hôpitaux universitaires en Belgique, en lien avec l’industrie.
Sa thèse, menée sous la direction du Professeur Michel Goldman, portait sur la régulation des lymphocytes T et a été publiée dans plusieurs revues scientifiques internationales.
Son parcours lui permet de relier recherche de pointe et pratique clinique, notamment dans le domaine des biomarqueurs moléculaires.
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